lunedì 8 agosto 2011

Bas-salaires



A la fin de la II Guerre Mondiale, l’Italie avait une seule ressource: un grand nombre de paysan misères et presque analphabètes. Les gouvernements et l’industrie misèrent donc sur l’exploitation intensive de cette ressource: avant tout, en stimulant l’émigration interne, et puis et surtout en s’appuyant sur une production industrielle de baisse qualité, mais peu coûteuse, grâce à cette force de travaille que l’on pouvait payer très peu. L’example parfait c’est la cinquecento, une voiture ingénieuse du point de vue méchanique et très peu coûteuse, mais minuscule, lente, assez dangereuse – très semblable aux voitures super-économique que maintenant l’Inde fabrique. Tout le monde reconnaîtra dans ce modèele, cette politique baisse qualité – bas salaires le modèle qui est suivi par la Chine aujourd’hui et qui pousse un boom chinois semblable au boom italien des années cinquante. Mais il y a une différence importante: en Chine on investit les revenues de cette croissance explosive dans l’instruction et la récherche, de façon que dans dix-ving ans, quand la politique des bas salaires ne séra plus faisable, la Chine passera d’une économie fondée sur les bas salaires à une économie mûre et de meilleure qualité, pas très différente de l’économie de l’Allemagne, qui est toujours, même dans cette période de crise globale, peut-être la plus competitive du monde. En Italie, nous avons continué avec la politique des bas salaires, sans passer à une économie plus mûre fondée sur les productions à fort taux d’innovation et de récherche, en confiant sur l’exportation à l’Allemagne et sur la soutien du marché intérieur par des politiques “keynesiennes” d’endettement, de dévaluatation de la lira, de déficit publique. L’on dira que la Chine a un marché intérieur immense – mais le marché Européen qui a representé la fortune du nord-est, mieux collegué à l’Europe centrlae que toute autre macro-région d’Italie, n’est pas petit. Et surtout il faut rappeler que au début des années ’60 il y a eu en Italie un tentatif de developper une structure industrielle fondée sur les ahutes téchnologies. L’example le plus connu c’est celui de Mattei, mais il ne faut pas oublier le cas de Natta et le dévéloppement important de la chemie, et même du nucléaire:l’Italie fût parmi les premiers Pays, avec l’Angleterer et les Etats Unis, à batirs des centrales nucléaires, à Latina et au Graigliano. Je suis un antinucléariste convaincu, mais la signification du nucléaire aux années ’50, bien avant la naissance d’une conscience environmentelle, a une signification bien différente qu’ aujourd’hui. Ce tentatif fût bloqué par les claisses politiques, je soupçonne du moins e partie sours préssion des Etats Unis, qui ne toléraint pas la concurrence italienne, et la mort tragique de Mattei en representa symboliquement l’éclipse.
Et maintenant? La Chine, l’Inde, le Brésil, ont des salaire bien plus bas que l’Italie, l’euro empêche la dévalutation de la monnaie et réduit l’avantage des exporations italiennes en Allemagne – le nord-est presque totalemente déindustrialisé aujourd’hui. Il fallait, en 2000-2002, faire ce que l’on n’avait pas fait pendant les dernières 50 ans, de passer à une écononmie fondé sur linnovation. Je crains que désormais nous avons perdu ce train.

Nessun commento: