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domenica 13 giugno 2010

Politique économique

Jusqu'à la crise du 2008, le dollar était faible et l'euro étati fort, avec un efflux net de monnaie de l'Europe à l'Amérique; ils nous ont raconté que l'Europe étati moins efficiente que l'Amérique, tandis que l'Amérique s'endettaite énormement, jusqu'au collapse du 2008.
Aujourd'hui ils nous comptent qu'il faut se defendre de la spéculation, tandis que le problème réel c'est la baisse croissance et que donc ils faudrait imposter des politiques économiques expansives.
Nos politiques économiques sont dominées par l'imperatif de augmenter la production nette (ou bien, de augmenter toujopurs les profits), ce qui serait raisonnable dans un pays en voie de développement; mais dans les économies mûres il serait oplus raisonnable d'établir des polotiques économiqes qui règlent le deroulement harmonieux de l'économie.

giovedì 7 agosto 2008

vie chère

Les indicateurs économiques signalent une grave crise en Europe et en Italie; mais les italiens ne semblent pas très proccupés pourtant par la vie chère. En effet, avec une si grande inflation, avec des prix si haut, il suffit de renoncer à très peux pour aller; il suffit de renoncer une fois par semaine à la voiture, et il arrive un épargne considérable.

sabato 26 luglio 2008

prix

L'on causait- en faisant la queue - des prix. Un monsieur s'écrie:"les spéculateurs!". Cela est curieux; tout le monde souhaite le libre marché, et l'on ne se rend pas compte que les prix sont établis par le marché. Dioclétien eut le meme problème des prix, il imposa des prix plafonds, et il échoua - le marché decida les prix en se moquant de l'Empereur - mais il était éxcuse car, au IIIeme siècle, l'on n'avait pas de théorie économique. Mais aujourd'hui?
Les prix sont établis par le marché, mais il y a deux facteurs indépendant qui déterminent le marché: le cout de la monnaie, et les bénéfices. Le premier dépend avant tout des taux de la Banque Centrale, le second avant tout du pouvoir contractuels relatif des travailleurs et des empreneurs.

lunedì 7 aprile 2008

exportations

Il n'est pas difficil de résoudre bon nombre des problèmes économiques d'Europe, de Chine e d'Amérique. Il suffirait de augmenter les taux d'intéret USA et réduire considerablement ceux de la BCE. L'Amérique est un fort importateur, l'Europe un fort exportateur; maintenant les importations sont trop grandes en Amérique, avec une faiblesse du dollar et une force excessive de l'Euro. En Europe, cela ce traduit avec des prix très hauts et des couts des emprunts excessifs. Le système ne s'écroule pas seulement car le dollar est soutentu par la Chine.
On ne procède à cette politique économique, à part Bush et la disunité des européens, car cela dommagerait énormement les rentiers.

domenica 30 dicembre 2007

euro et inflation

Les prix des merchandises croissent sans trève; on accuse l’Euro, mais desormais ils sont passés plus de 5 ans depuis l’introduction de l’Euro. Pourquoi donc l’inflation? Pour quelques-uns la faute est du taux de conversion lira/euro, que, ils pensent, devait être proche de 1000 lire/euro et non pas, comme il a été, de 2000 lire/euro environ. A part que le taux de convérsion a été basé sur les taux d’échange parmi les monnaies, cette position équivaut à dire que si j’écris “2 euro” sur les monnaies de 1 euro mon argent double. Malheureusement il n’est pas possible de doubler l’argent qu’on a dans les poches en changeant l’écrite sur les monnaies.
D’autres accusent les spéculateurs. On a sans doute des spéculations, non pas sur les prix (tomates, pommes, viande etc.), mais sur les tarifes (téléphone, éléctricite, banques, etc.). Le prix du petrole a sans doute ses fautes, mais il n’a pas monté sérieusement (encore pas) depuis 2001. Il état proche de 80 dollares/tonneau en 2001, et est encore proche de cela (il montera énormement).
Pourquoi alors l’inflation? Tout simplement, on n’a pas eu d’inflation. Les chiffres de l’ISTAT indiquent une inflation proche de 2%; les consommeurs ont réagi avec rage car les prix à la consummation ont presque doublés. Mais l’ISTAT est tout juste: ce ne sont pas les prix qui ont monté, ce sont les salaries réels qui sont diminués. On suffit de considerer les marchands: pour eux, les prix sont doublés, mais sont doublés aussi les gagnages, donc les revenus ne sont pas changés. Ils augmentent les prix au fur et à mésure que les prix montent; cela peut continuer, sa va sans dire, tandis que la demande ne diminue plus que n’augmentent les prix. Donc, la demande est resté presque invarié. Considerons ce Noel, salué par des hauts écris désésperés, mais qui a vu la folle course aux dépenses habituelle.
Pourquoi donc la diminution d salaire réel? Il faut considerer un simple modèle économique. La production de marchandises et de biens d’un pays se divise en deux parties: les profits et les salaires. L’économie fonctionne tandis que les profits se transforment, entièrement ou presque en invéstissements. En Italie il y a un grand excès de profits sur les invéstissements, et cela explique la croissance malaisé de l’économie (qui est la cause de l’appauvrissement réel d’une partie de la population). Mais feignons qu’il n’y a pas de profits, et que toute la production se transforme en salaires. Le salaire moyen réel correspond alors, logiquement, à la production nationale divisée par le nombre des travailleur, c’est à dire à la production moyenne par travailleur. Ors, en Italie la production moyenne par travailleur est très faible. Pendant les derniers vingt ans on a augmenté artificiellement les rentes par l’endettement et la dévalutation de la monnaie (qui est une autre forme d’endettement). Mais avec l’euro cela n’a pas plus été possible, et les salaries réels se sont réduits brusquement, rétournant à correspondere à la production moyenne par travailleur. On dit souvent (surtout les industriels) que les italiens travaillent peu. Certes, la foule de pensionnés-bébés ne sont pas l’idéel, tandi que le grand nombre de femmes qui ne travaillent pas. Mais on oublie que la production dépend du nombre de heures travailles par travailleur et par la productivité horaire. La productivité depend à sa foi surtout des machines et de infrastructures; les dernières sont dans un état desorable en Italie. Si dans l’oisine je produis 10000 chaussures en dix heures (1000 chaussures par l’heure), et puis les chaussures passent dix heures dans le camion sur la Tangenziale de Mestre car il y a un bouchon de trafic, je n’ai pas produit pas 1000 chaussures par heure, mais 500 chaussures par heure. Et les infrastructure ne sont pas seulement les transports, mais aussi, par example, une administration rapide et éfficace, qui réduit le temps perdu dans les bureaux.
Malheuresement les italiens sont des keynesiens invétérés. En Italie on ne fait pas des les routes, les aéroports, etc. pour transporter les personnes et les merchandises (et donc pour améliorer les conditions de la production et la qualité de la vie des citoyens), mais pour “donner du travail”. Le resultat: des coûts énormes et des services affreux (voyez par example la TAV en val di Susa). Ce keynesisme est bipartisain, et on le trouve dans la gauche tout bien comme dans la droite.
Ce modèle est sans doute très simplifié, il y a une foule de complications (surtout le rôle de l’état), mais elle peuvent être introduites dans le modèles sans le changer substantiellement.

Il faut noter que le modèle que je présente est assez différent du modèle keynesien (qui est suivit par tous les économistes, bien que très souvent sotto mentite spoglie), et est par contre très proche du modèle du II livre du Capital. Dans le Capital il est exposé avec des mots bien différents, sans doute, des mots, hélas, qui ont été repetés par beaucoups pendant cent ans comme le catéchisme, c’est à dire, en en repentant les mots sans en entendre la signification.