mercoledì 14 gennaio 2009
Déflation
lunedì 25 agosto 2008
inflation
A la rentrée des vacances nous attend une térrible inflation. l’on prévoit une augmentation de la fruit, du pain, des livres d’école, du gaz pour le chauffage –encore? Etrange sensation de déja-vu, il arriva le même au 2001, à l’introduction de l’euro. C’est peut-être une coincidence, mais alors et aujourd’hui le premier était Berlusconi et le ministre de l’économie Tremonti.
Je me suis demandé souvent la raison de l’hyperinflation du 2001 et je me demande encore
giovedì 7 agosto 2008
vie chère
sabato 26 luglio 2008
prix
Les prix sont établis par le marché, mais il y a deux facteurs indépendant qui déterminent le marché: le cout de la monnaie, et les bénéfices. Le premier dépend avant tout des taux de la Banque Centrale, le second avant tout du pouvoir contractuels relatif des travailleurs et des empreneurs.
martedì 8 luglio 2008
Taux
En autre, les Etats européens se trouvent avec peu de revenues, car ils ne peuvent pas hausser les taxes, car cela comprimerait trop les consommations, déja réduites par l'inflation. Ils sont au contraire poussés à réduire la taxation pour augmenter les consommations, car la polituqe monétaire (baissement du coût de la monnaie) leurs est intérdite, étant centralisée dans la BCE
En somme, avec cette politique économique internationale les spéculateurs et les riches gagnent. tous les autres perdent.
lunedì 7 aprile 2008
exportations
On ne procède à cette politique économique, à part Bush et la disunité des européens, car cela dommagerait énormement les rentiers.
lunedì 11 febbraio 2008
inflation

domenica 30 dicembre 2007
euro et inflation
D’autres accusent les spéculateurs. On a sans doute des spéculations, non pas sur les prix (tomates, pommes, viande etc.), mais sur les tarifes (téléphone, éléctricite, banques, etc.). Le prix du petrole a sans doute ses fautes, mais il n’a pas monté sérieusement (encore pas) depuis 2001. Il état proche de 80 dollares/tonneau en 2001, et est encore proche de cela (il montera énormement).
Pourquoi alors l’inflation? Tout simplement, on n’a pas eu d’inflation. Les chiffres de l’ISTAT indiquent une inflation proche de 2%; les consommeurs ont réagi avec rage car les prix à la consummation ont presque doublés. Mais l’ISTAT est tout juste: ce ne sont pas les prix qui ont monté, ce sont les salaries réels qui sont diminués. On suffit de considerer les marchands: pour eux, les prix sont doublés, mais sont doublés aussi les gagnages, donc les revenus ne sont pas changés. Ils augmentent les prix au fur et à mésure que les prix montent; cela peut continuer, sa va sans dire, tandis que la demande ne diminue plus que n’augmentent les prix. Donc, la demande est resté presque invarié. Considerons ce Noel, salué par des hauts écris désésperés, mais qui a vu la folle course aux dépenses habituelle.
Pourquoi donc la diminution d salaire réel? Il faut considerer un simple modèle économique. La production de marchandises et de biens d’un pays se divise en deux parties: les profits et les salaires. L’économie fonctionne tandis que les profits se transforment, entièrement ou presque en invéstissements. En Italie il y a un grand excès de profits sur les invéstissements, et cela explique la croissance malaisé de l’économie (qui est la cause de l’appauvrissement réel d’une partie de la population). Mais feignons qu’il n’y a pas de profits, et que toute la production se transforme en salaires. Le salaire moyen réel correspond alors, logiquement, à la production nationale divisée par le nombre des travailleur, c’est à dire à la production moyenne par travailleur. Ors, en Italie la production moyenne par travailleur est très faible. Pendant les derniers vingt ans on a augmenté artificiellement les rentes par l’endettement et la dévalutation de la monnaie (qui est une autre forme d’endettement). Mais avec l’euro cela n’a pas plus été possible, et les salaries réels se sont réduits brusquement, rétournant à correspondere à la production moyenne par travailleur. On dit souvent (surtout les industriels) que les italiens travaillent peu. Certes, la foule de pensionnés-bébés ne sont pas l’idéel, tandi que le grand nombre de femmes qui ne travaillent pas. Mais on oublie que la production dépend du nombre de heures travailles par travailleur et par la productivité horaire. La productivité depend à sa foi surtout des machines et de infrastructures; les dernières sont dans un état desorable en Italie. Si dans l’oisine je produis 10000 chaussures en dix heures (1000 chaussures par l’heure), et puis les chaussures passent dix heures dans le camion sur la Tangenziale de Mestre car il y a un bouchon de trafic, je n’ai pas produit pas 1000 chaussures par heure, mais 500 chaussures par heure. Et les infrastructure ne sont pas seulement les transports, mais aussi, par example, une administration rapide et éfficace, qui réduit le temps perdu dans les bureaux.
Malheuresement les italiens sont des keynesiens invétérés. En Italie on ne fait pas des les routes, les aéroports, etc. pour transporter les personnes et les merchandises (et donc pour améliorer les conditions de la production et la qualité de la vie des citoyens), mais pour “donner du travail”. Le resultat: des coûts énormes et des services affreux (voyez par example la TAV en val di Susa). Ce keynesisme est bipartisain, et on le trouve dans la gauche tout bien comme dans la droite.
Ce modèle est sans doute très simplifié, il y a une foule de complications (surtout le rôle de l’état), mais elle peuvent être introduites dans le modèles sans le changer substantiellement.
Il faut noter que le modèle que je présente est assez différent du modèle keynesien (qui est suivit par tous les économistes, bien que très souvent sotto mentite spoglie), et est par contre très proche du modèle du II livre du Capital. Dans le Capital il est exposé avec des mots bien différents, sans doute, des mots, hélas, qui ont été repetés par beaucoups pendant cent ans comme le catéchisme, c’est à dire, en en repentant les mots sans en entendre la signification.