lunedì 31 dicembre 2007
solstizio
I nordici festeggiano i solstizi (natale, il solstizio d'estate), i meridionali gli equinozi (Pasqua, la festa di mezzo autunno cinese); ovviamente, perché le notti sono lunghissime in inverno, i giorni in estate al nord, non così al sud.
rap
It is curious how close is rap music to ancient poetry. Both are accompanied with music, both are based on a strong rythmic structure. There is a strange relationship among African art and Ancient Greek art, in the ancient sculptures of Ife (see http://elforms.com/queenmother/photos.htm), in the (afroamerican) rap. Even writers are substantially calligraphers, and, although calligraphy didn't exist in Ancient Greece, it is a wholly classical form of art.
handicap
Un cattolico, se vede uno a cui manca una gamba, esclama “che fortunato! Così può sopportare questa indicibile sofferenza come vuole Gesù.” Quello che diceva Gesù, è che se uno è pieno di spirito, la gamba gli ricresce. La fede (fides = fiducia, πιστισ = credenza) non consiste in nient’altro che nel convincersi che questo fenomeno, apparentemente impossibile, è possibilissimo. Nel caso di alcuni sciamani comincio a credere che la gamba ricresca fisicamente, ma devono essere casi rari. Il caso più comune è quello in cui la gamba ricresce simbolicamente, cioè in cui alla psiche non fa nessuna differenza la presenza fisica della gamba; e infine si può sempre costruire una protesi grazie alle scoperte scientifiche, oggi ancora imperfetta, domani chissà.
Ahimé, il problema dei cristiani è che sono ancora pagani. I veri cristiani (quanti ce ne sono!) in genere sono atei, ebrei, omosessuali e comunisti (e talvolta pure negri).
Ahimé, il problema dei cristiani è che sono ancora pagani. I veri cristiani (quanti ce ne sono!) in genere sono atei, ebrei, omosessuali e comunisti (e talvolta pure negri).
domenica 30 dicembre 2007
writers
gaspillage
hier, à la télé, Fruttero - homme d'intelligence extraordinaire - disait que le thème de l'année a été le gaspillage - dans l'état, surtour. Hélas, le gaspillage est un problème en écologie, ou il nous va porter à la destruction de la biosphère, mais en économie le gaspillage est un impulse formidable. Pensez aux gaspillages de Noel, qui sont attendues en frémissant par les marchands.
La contradiction entre les couts de l'écologie et les revenus de l'économie sont peut-etre la contradiction du XXI siècle -dont la solution passe, je soupconne, par la liberation du travail, ma raison faible ne sait pas comment.
La contradiction entre les couts de l'écologie et les revenus de l'économie sont peut-etre la contradiction du XXI siècle -dont la solution passe, je soupconne, par la liberation du travail, ma raison faible ne sait pas comment.
euro et inflation
Les prix des merchandises croissent sans trève; on accuse l’Euro, mais desormais ils sont passés plus de 5 ans depuis l’introduction de l’Euro. Pourquoi donc l’inflation? Pour quelques-uns la faute est du taux de conversion lira/euro, que, ils pensent, devait être proche de 1000 lire/euro et non pas, comme il a été, de 2000 lire/euro environ. A part que le taux de convérsion a été basé sur les taux d’échange parmi les monnaies, cette position équivaut à dire que si j’écris “2 euro” sur les monnaies de 1 euro mon argent double. Malheureusement il n’est pas possible de doubler l’argent qu’on a dans les poches en changeant l’écrite sur les monnaies.
D’autres accusent les spéculateurs. On a sans doute des spéculations, non pas sur les prix (tomates, pommes, viande etc.), mais sur les tarifes (téléphone, éléctricite, banques, etc.). Le prix du petrole a sans doute ses fautes, mais il n’a pas monté sérieusement (encore pas) depuis 2001. Il état proche de 80 dollares/tonneau en 2001, et est encore proche de cela (il montera énormement).
Pourquoi alors l’inflation? Tout simplement, on n’a pas eu d’inflation. Les chiffres de l’ISTAT indiquent une inflation proche de 2%; les consommeurs ont réagi avec rage car les prix à la consummation ont presque doublés. Mais l’ISTAT est tout juste: ce ne sont pas les prix qui ont monté, ce sont les salaries réels qui sont diminués. On suffit de considerer les marchands: pour eux, les prix sont doublés, mais sont doublés aussi les gagnages, donc les revenus ne sont pas changés. Ils augmentent les prix au fur et à mésure que les prix montent; cela peut continuer, sa va sans dire, tandis que la demande ne diminue plus que n’augmentent les prix. Donc, la demande est resté presque invarié. Considerons ce Noel, salué par des hauts écris désésperés, mais qui a vu la folle course aux dépenses habituelle.
Pourquoi donc la diminution d salaire réel? Il faut considerer un simple modèle économique. La production de marchandises et de biens d’un pays se divise en deux parties: les profits et les salaires. L’économie fonctionne tandis que les profits se transforment, entièrement ou presque en invéstissements. En Italie il y a un grand excès de profits sur les invéstissements, et cela explique la croissance malaisé de l’économie (qui est la cause de l’appauvrissement réel d’une partie de la population). Mais feignons qu’il n’y a pas de profits, et que toute la production se transforme en salaires. Le salaire moyen réel correspond alors, logiquement, à la production nationale divisée par le nombre des travailleur, c’est à dire à la production moyenne par travailleur. Ors, en Italie la production moyenne par travailleur est très faible. Pendant les derniers vingt ans on a augmenté artificiellement les rentes par l’endettement et la dévalutation de la monnaie (qui est une autre forme d’endettement). Mais avec l’euro cela n’a pas plus été possible, et les salaries réels se sont réduits brusquement, rétournant à correspondere à la production moyenne par travailleur. On dit souvent (surtout les industriels) que les italiens travaillent peu. Certes, la foule de pensionnés-bébés ne sont pas l’idéel, tandi que le grand nombre de femmes qui ne travaillent pas. Mais on oublie que la production dépend du nombre de heures travailles par travailleur et par la productivité horaire. La productivité depend à sa foi surtout des machines et de infrastructures; les dernières sont dans un état desorable en Italie. Si dans l’oisine je produis 10000 chaussures en dix heures (1000 chaussures par l’heure), et puis les chaussures passent dix heures dans le camion sur la Tangenziale de Mestre car il y a un bouchon de trafic, je n’ai pas produit pas 1000 chaussures par heure, mais 500 chaussures par heure. Et les infrastructure ne sont pas seulement les transports, mais aussi, par example, une administration rapide et éfficace, qui réduit le temps perdu dans les bureaux.
Malheuresement les italiens sont des keynesiens invétérés. En Italie on ne fait pas des les routes, les aéroports, etc. pour transporter les personnes et les merchandises (et donc pour améliorer les conditions de la production et la qualité de la vie des citoyens), mais pour “donner du travail”. Le resultat: des coûts énormes et des services affreux (voyez par example la TAV en val di Susa). Ce keynesisme est bipartisain, et on le trouve dans la gauche tout bien comme dans la droite.
Ce modèle est sans doute très simplifié, il y a une foule de complications (surtout le rôle de l’état), mais elle peuvent être introduites dans le modèles sans le changer substantiellement.
Il faut noter que le modèle que je présente est assez différent du modèle keynesien (qui est suivit par tous les économistes, bien que très souvent sotto mentite spoglie), et est par contre très proche du modèle du II livre du Capital. Dans le Capital il est exposé avec des mots bien différents, sans doute, des mots, hélas, qui ont été repetés par beaucoups pendant cent ans comme le catéchisme, c’est à dire, en en repentant les mots sans en entendre la signification.
D’autres accusent les spéculateurs. On a sans doute des spéculations, non pas sur les prix (tomates, pommes, viande etc.), mais sur les tarifes (téléphone, éléctricite, banques, etc.). Le prix du petrole a sans doute ses fautes, mais il n’a pas monté sérieusement (encore pas) depuis 2001. Il état proche de 80 dollares/tonneau en 2001, et est encore proche de cela (il montera énormement).
Pourquoi alors l’inflation? Tout simplement, on n’a pas eu d’inflation. Les chiffres de l’ISTAT indiquent une inflation proche de 2%; les consommeurs ont réagi avec rage car les prix à la consummation ont presque doublés. Mais l’ISTAT est tout juste: ce ne sont pas les prix qui ont monté, ce sont les salaries réels qui sont diminués. On suffit de considerer les marchands: pour eux, les prix sont doublés, mais sont doublés aussi les gagnages, donc les revenus ne sont pas changés. Ils augmentent les prix au fur et à mésure que les prix montent; cela peut continuer, sa va sans dire, tandis que la demande ne diminue plus que n’augmentent les prix. Donc, la demande est resté presque invarié. Considerons ce Noel, salué par des hauts écris désésperés, mais qui a vu la folle course aux dépenses habituelle.
Pourquoi donc la diminution d salaire réel? Il faut considerer un simple modèle économique. La production de marchandises et de biens d’un pays se divise en deux parties: les profits et les salaires. L’économie fonctionne tandis que les profits se transforment, entièrement ou presque en invéstissements. En Italie il y a un grand excès de profits sur les invéstissements, et cela explique la croissance malaisé de l’économie (qui est la cause de l’appauvrissement réel d’une partie de la population). Mais feignons qu’il n’y a pas de profits, et que toute la production se transforme en salaires. Le salaire moyen réel correspond alors, logiquement, à la production nationale divisée par le nombre des travailleur, c’est à dire à la production moyenne par travailleur. Ors, en Italie la production moyenne par travailleur est très faible. Pendant les derniers vingt ans on a augmenté artificiellement les rentes par l’endettement et la dévalutation de la monnaie (qui est une autre forme d’endettement). Mais avec l’euro cela n’a pas plus été possible, et les salaries réels se sont réduits brusquement, rétournant à correspondere à la production moyenne par travailleur. On dit souvent (surtout les industriels) que les italiens travaillent peu. Certes, la foule de pensionnés-bébés ne sont pas l’idéel, tandi que le grand nombre de femmes qui ne travaillent pas. Mais on oublie que la production dépend du nombre de heures travailles par travailleur et par la productivité horaire. La productivité depend à sa foi surtout des machines et de infrastructures; les dernières sont dans un état desorable en Italie. Si dans l’oisine je produis 10000 chaussures en dix heures (1000 chaussures par l’heure), et puis les chaussures passent dix heures dans le camion sur la Tangenziale de Mestre car il y a un bouchon de trafic, je n’ai pas produit pas 1000 chaussures par heure, mais 500 chaussures par heure. Et les infrastructure ne sont pas seulement les transports, mais aussi, par example, une administration rapide et éfficace, qui réduit le temps perdu dans les bureaux.
Malheuresement les italiens sont des keynesiens invétérés. En Italie on ne fait pas des les routes, les aéroports, etc. pour transporter les personnes et les merchandises (et donc pour améliorer les conditions de la production et la qualité de la vie des citoyens), mais pour “donner du travail”. Le resultat: des coûts énormes et des services affreux (voyez par example la TAV en val di Susa). Ce keynesisme est bipartisain, et on le trouve dans la gauche tout bien comme dans la droite.
Ce modèle est sans doute très simplifié, il y a une foule de complications (surtout le rôle de l’état), mais elle peuvent être introduites dans le modèles sans le changer substantiellement.
Il faut noter que le modèle que je présente est assez différent du modèle keynesien (qui est suivit par tous les économistes, bien que très souvent sotto mentite spoglie), et est par contre très proche du modèle du II livre du Capital. Dans le Capital il est exposé avec des mots bien différents, sans doute, des mots, hélas, qui ont été repetés par beaucoups pendant cent ans comme le catéchisme, c’est à dire, en en repentant les mots sans en entendre la signification.
venerdì 28 dicembre 2007
conceptual art
contemporary art of course goes back to Duchamp; for the artists of the second half of XXth century (and more generally for all artists of XXth century) the beautiful is an idea, an operation of the mind, not a perception. Art is an operation that mines the idea out of undifferentiated perceptions. Take for instance (see the very good site http://www.conceptual-art.net/collection.html) "in and out, out and in, and in and out and out and in" of Lawrence Weiner. These words are written on the glass door of a shop; Weiner very simply says: "look how beautiful is the in and out of people in this magazine. I am an artist because I draw your attention to the beauty of this banal everyday event. You must look with some detachment at the in and out of people to perceive its esthetical meaning, and some attention, and I do so simply by writing a caption on the glass door.
Contemporary artist (in particular conceptual artists) wanted to separate the art from the decoration; unfortunately, the result of their work is often very decorative. For instance, a painting of Jackson Pollock is actually a performance; the artistc lies in the physical expenditure of psichic and physical energy by the artist that drips paint on the canvas; photographs of Pollock painting are in fact very poetic. The resulting entwined lines of color are nonetheless very decorative.
Many highly quoted artist of the late years have separated the decorative from the art, and the art has been remove; for instance Gerhard Richter do paintings very similar in spirti to those of Pollock, but here it imports the painted canvas (to be sell), not the operation of painting.
Contemporary artist (in particular conceptual artists) wanted to separate the art from the decoration; unfortunately, the result of their work is often very decorative. For instance, a painting of Jackson Pollock is actually a performance; the artistc lies in the physical expenditure of psichic and physical energy by the artist that drips paint on the canvas; photographs of Pollock painting are in fact very poetic. The resulting entwined lines of color are nonetheless very decorative.
Many highly quoted artist of the late years have separated the decorative from the art, and the art has been remove; for instance Gerhard Richter do paintings very similar in spirti to those of Pollock, but here it imports the painted canvas (to be sell), not the operation of painting.
giovedì 27 dicembre 2007
Gerhard Richter
A typical german professor. He synthetizes all discoveries of contemporary art: action painting, abstract expressionism, photograph, Mark Rotko, always with the perspective of an academician. Excellent esthetical results, nonetheless. Even the portraits of RAF terrorists appear exactly how they wold be perceived by a german philistine. Look at the paintings at www.gerhard-richter.com, a beautiful site. It strikes me Betty (1977); it remembers I don't know which old painting, and the words of Chauchat to Hans Castorp: you german so you are, romatnic, humanist, and bourgeois.
mercoledì 26 dicembre 2007
Christ
Sinistra ha due significati: 1) progressista 2) chi sta dalla parte dei deboli. Ovviamente le due cose vanno insieme, perché chi sta bene non ha bisogno (in genere, ci sono molte eccezioni) di progredire. A Cristo non importava niente dei poveri; però non poteva rivolgere il suo messaggio di rinnovamento (questi in fondo significa la resurrezione) ai sazi, che non avevano nessun bisogno di rinnovarsi, mentre trovava ascolto presso gli ultimi, per cui riscatto e rinnovamento erano sinonimi.
Non interessandosi di politica si è trovato a commettere un colossale errore politico. Si è trovato stretto da una parte tra gli zeloti, un movimento rivoluzionario insurrezionale che voleva la liberazione di Israele, che lo hanno considerato dalla loro parte, gli hanno offerto di diventare re di Israele, e quando Cristo (come dice Giovanni) ha rifiutato lo hanno considerato un traditore; dall’altra tra i Romani, che lo consideravano un pericoloso sovversivo soprattutto perché la sua predicazione probabilmente aveva trovato il favore della grande maggioranza degli ebrei. I Romani lo hanno messo a morte come sovversivo, spalleggiati dagli zeloti (probabilmente questi erano gli ebrei che preferirono il ladrone, anche lui un insorto, a Cristo). Ora, se Cristo fosse diventato re di Israele, il cristianesimo sarebbe la religione degli ebrei, e vedremmo il papa (che starebbe a Gerusalemme) come il Dalai Lama, cioè il portavoce di altissime istanze spirituali, che tutti rispettiamo, che ha poco peso nei giochi politici, ma proprio per questo può svolgere liberamente la sua missione religiosa. Invece, da una parte gli zeloti, troppo estremisti rispetto agli effettivi rapporti di forza, senza la guida di un leader riconosciuto dalla maggioranza del popolo, sono stati sconfitti pochi anni dopo, trascinando con sé l’intero popolo di Israele, che ha visto nel 70 la distruzione del Tempio di Gerusalemme e subito dopo la diaspora (la storia ricorda curiosamente quella delle Brigate Rosse). Dall’altra i cristiani, che non volevano mischiarsi con la politica (date a Cesare quel che è di Cesare e a Dio quel che è di Dio) si sono trovati costretti, inizialmente solo per sopravvivere, prima a conquistare l’impero romano, poi a prendere il posto dell’Imperatore, e infine a unire il trono e l’altare. Il risultato è stato esattamente quello che Cristo temeva: il potere ha inquinato la religione, con una secca perdita complessiva di spiritualità nei paesi cristiani.
Questa interpretazione mi è stata suggerita da un’osservazione di Jung (Tipi psicologici) riguardo la terza tentazione di Cristo, quella in cui Satana gli propone di diventare re della terra. Dice Jung che se Cristo avesse preso più letteralmente (la traduzione dice “concretisticamente”, ma sospetto che nell’originale sia sachlich, che vuol dire oggettivamente, concretamente e anche letteralmente) questa sua fantasia il suo passaggio sulla terra sarebbe durata molto più a lungo. In altre parole, anche Cristo aveva un demone (e il bello è che ce lo dice), la volontà di potenza. Nietzsche ha preso un grande abbaglio: la volontà di potenza non è l’istinto primario dell’uomo che si esprime al massimo nella Grecia arcaica, ma il demone personale di Cristo diventato il demone che affligge l’Occidente.
Non interessandosi di politica si è trovato a commettere un colossale errore politico. Si è trovato stretto da una parte tra gli zeloti, un movimento rivoluzionario insurrezionale che voleva la liberazione di Israele, che lo hanno considerato dalla loro parte, gli hanno offerto di diventare re di Israele, e quando Cristo (come dice Giovanni) ha rifiutato lo hanno considerato un traditore; dall’altra tra i Romani, che lo consideravano un pericoloso sovversivo soprattutto perché la sua predicazione probabilmente aveva trovato il favore della grande maggioranza degli ebrei. I Romani lo hanno messo a morte come sovversivo, spalleggiati dagli zeloti (probabilmente questi erano gli ebrei che preferirono il ladrone, anche lui un insorto, a Cristo). Ora, se Cristo fosse diventato re di Israele, il cristianesimo sarebbe la religione degli ebrei, e vedremmo il papa (che starebbe a Gerusalemme) come il Dalai Lama, cioè il portavoce di altissime istanze spirituali, che tutti rispettiamo, che ha poco peso nei giochi politici, ma proprio per questo può svolgere liberamente la sua missione religiosa. Invece, da una parte gli zeloti, troppo estremisti rispetto agli effettivi rapporti di forza, senza la guida di un leader riconosciuto dalla maggioranza del popolo, sono stati sconfitti pochi anni dopo, trascinando con sé l’intero popolo di Israele, che ha visto nel 70 la distruzione del Tempio di Gerusalemme e subito dopo la diaspora (la storia ricorda curiosamente quella delle Brigate Rosse). Dall’altra i cristiani, che non volevano mischiarsi con la politica (date a Cesare quel che è di Cesare e a Dio quel che è di Dio) si sono trovati costretti, inizialmente solo per sopravvivere, prima a conquistare l’impero romano, poi a prendere il posto dell’Imperatore, e infine a unire il trono e l’altare. Il risultato è stato esattamente quello che Cristo temeva: il potere ha inquinato la religione, con una secca perdita complessiva di spiritualità nei paesi cristiani.
Questa interpretazione mi è stata suggerita da un’osservazione di Jung (Tipi psicologici) riguardo la terza tentazione di Cristo, quella in cui Satana gli propone di diventare re della terra. Dice Jung che se Cristo avesse preso più letteralmente (la traduzione dice “concretisticamente”, ma sospetto che nell’originale sia sachlich, che vuol dire oggettivamente, concretamente e anche letteralmente) questa sua fantasia il suo passaggio sulla terra sarebbe durata molto più a lungo. In altre parole, anche Cristo aveva un demone (e il bello è che ce lo dice), la volontà di potenza. Nietzsche ha preso un grande abbaglio: la volontà di potenza non è l’istinto primario dell’uomo che si esprime al massimo nella Grecia arcaica, ma il demone personale di Cristo diventato il demone che affligge l’Occidente.
lunedì 24 dicembre 2007
nucleare
finalmente si torna al nucleare! Per cinquant'anni abbiamo letteralmente mangiato petrolio, inquinando l'ambiente e noi stessi, nel corpo e nella mente, e adesso molti sperano che si possa continuare mangiando uranio. Jeremy Rifkin viene giustamente considerato un mattacchione velleitario, non un economista che indica come la scienza del futuro, e mi dispiace per i fisici, sia l'ecologia.
Nuclear again! Since fitfty years we eat oil, polluting our environment, our body and our mind, and now many hopefully would like to continue by eating Uranium. Nobody cares of Rifkin, an economist, that shows that ecology is the science of the future, not physics.
Nuclear again! Since fitfty years we eat oil, polluting our environment, our body and our mind, and now many hopefully would like to continue by eating Uranium. Nobody cares of Rifkin, an economist, that shows that ecology is the science of the future, not physics.