Les prix des merchandises croissent sans trève; on accuse l’Euro, mais desormais ils sont passés plus de 5 ans depuis l’introduction de l’Euro. Pourquoi donc l’inflation? Pour quelques-uns la faute est du taux de conversion lira/euro, que, ils pensent, devait être proche de 1000 lire/euro et non pas, comme il a été, de 2000 lire/euro environ. A part que le taux de convérsion a été basé sur les taux d’échange parmi les monnaies, cette position équivaut à dire que si j’écris “2 euro” sur les monnaies de 1 euro mon argent double. Malheureusement il n’est pas possible de doubler l’argent qu’on a dans les poches en changeant l’écrite sur les monnaies.
D’autres accusent les spéculateurs. On a sans doute des spéculations, non pas sur les prix (tomates, pommes, viande etc.), mais sur les tarifes (téléphone, éléctricite, banques, etc.). Le prix du petrole a sans doute ses fautes, mais il n’a pas monté sérieusement (encore pas) depuis 2001. Il état proche de 80 dollares/tonneau en 2001, et est encore proche de cela (il montera énormement).
Pourquoi alors l’inflation? Tout simplement, on n’a pas eu d’inflation. Les chiffres de l’ISTAT indiquent une inflation proche de 2%; les consommeurs ont réagi avec rage car les prix à la consummation ont presque doublés. Mais l’ISTAT est tout juste: ce ne sont pas les prix qui ont monté, ce sont les salaries réels qui sont diminués. On suffit de considerer les marchands: pour eux, les prix sont doublés, mais sont doublés aussi les gagnages, donc les revenus ne sont pas changés. Ils augmentent les prix au fur et à mésure que les prix montent; cela peut continuer, sa va sans dire, tandis que la demande ne diminue plus que n’augmentent les prix. Donc, la demande est resté presque invarié. Considerons ce Noel, salué par des hauts écris désésperés, mais qui a vu la folle course aux dépenses habituelle.
Pourquoi donc la diminution d salaire réel? Il faut considerer un simple modèle économique. La production de marchandises et de biens d’un pays se divise en deux parties: les profits et les salaires. L’économie fonctionne tandis que les profits se transforment, entièrement ou presque en invéstissements. En Italie il y a un grand excès de profits sur les invéstissements, et cela explique la croissance malaisé de l’économie (qui est la cause de l’appauvrissement réel d’une partie de la population). Mais feignons qu’il n’y a pas de profits, et que toute la production se transforme en salaires. Le salaire moyen réel correspond alors, logiquement, à la production nationale divisée par le nombre des travailleur, c’est à dire à la production moyenne par travailleur. Ors, en Italie la production moyenne par travailleur est très faible. Pendant les derniers vingt ans on a augmenté artificiellement les rentes par l’endettement et la dévalutation de la monnaie (qui est une autre forme d’endettement). Mais avec l’euro cela n’a pas plus été possible, et les salaries réels se sont réduits brusquement, rétournant à correspondere à la production moyenne par travailleur. On dit souvent (surtout les industriels) que les italiens travaillent peu. Certes, la foule de pensionnés-bébés ne sont pas l’idéel, tandi que le grand nombre de femmes qui ne travaillent pas. Mais on oublie que la production dépend du nombre de heures travailles par travailleur et par la productivité horaire. La productivité depend à sa foi surtout des machines et de infrastructures; les dernières sont dans un état desorable en Italie. Si dans l’oisine je produis 10000 chaussures en dix heures (1000 chaussures par l’heure), et puis les chaussures passent dix heures dans le camion sur la Tangenziale de Mestre car il y a un bouchon de trafic, je n’ai pas produit pas 1000 chaussures par heure, mais 500 chaussures par heure. Et les infrastructure ne sont pas seulement les transports, mais aussi, par example, une administration rapide et éfficace, qui réduit le temps perdu dans les bureaux.
Malheuresement les italiens sont des keynesiens invétérés. En Italie on ne fait pas des les routes, les aéroports, etc. pour transporter les personnes et les merchandises (et donc pour améliorer les conditions de la production et la qualité de la vie des citoyens), mais pour “donner du travail”. Le resultat: des coûts énormes et des services affreux (voyez par example la TAV en val di Susa). Ce keynesisme est bipartisain, et on le trouve dans la gauche tout bien comme dans la droite.
Ce modèle est sans doute très simplifié, il y a une foule de complications (surtout le rôle de l’état), mais elle peuvent être introduites dans le modèles sans le changer substantiellement.
Il faut noter que le modèle que je présente est assez différent du modèle keynesien (qui est suivit par tous les économistes, bien que très souvent sotto mentite spoglie), et est par contre très proche du modèle du II livre du Capital. Dans le Capital il est exposé avec des mots bien différents, sans doute, des mots, hélas, qui ont été repetés par beaucoups pendant cent ans comme le catéchisme, c’est à dire, en en repentant les mots sans en entendre la signification.
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